Former les "boomers" ou les "millenials" (2/2) ?

Parier sur les “millenials”

Ces lignes sont basées sur mes observations propres et vécus empiriques.

Leurs points forts.

L’engagement et le bon sens avant tout. Cette génération est souvent moins attirée par les symboles matériels de réussite et s’attache plus à l’équilibre vie pro / vie perso / vie associative. Ce qui, même avec peu d’expériences de terrain donne souvent des personnalités matures.

Ce qui leur manque.

Réaliser et accepter que dans un monde mondialisé, leurs savoirs et compétences sont en concurrence avec des dizaines ou centaines de milliers de personnes dans le reste du monde.

A cela s’ajoute l’illusion de la maîtrise technologique, souvent confondue avec l’usage d’outils techs. Idem pour les process qui ont fait leurs preuves.

Comment y remédier ?

Inviter cette classe d’âge à démontrer concrètement son habileté à proposer des solutions viables, innovantes et durables puis les tester.

De l’obligation d’être un expert

Que ce soit sur un sujet nouveau (ex : nouvelles énergies), ou “classique” (ex : production), la période et le contexte n’autorisent pas l’approximation.

Pour quelles missions ?

R&D, veille, RSE, service client

Et vous ? Les formez-vous ?