Stagiaire ou apprenti ? Ce qu'il faut savoir pour choisir le meilleur profil

Apprenti ou stagiaire, le grand dilemme du patron qui souhaite former son champion.

Vous souhaitez agrandir votre équipe en formant des nouveaux mais vous ne savez pas quel profil choisir ?
Ce comparatif est fait pour vous !

Quelle est la différence entre un stage et un apprentissage ?

Un apprenti en alternance va recevoir une formation sur un métier de l’entreprise alors qu’un stage s’apparente plus à une acquisition de savoir et une découverte du métier. Il y a d’autres paramètres à prendre en compte pour vous aider à choisir, listés ci-dessous.

Pourquoi comparer apprenti et stagiaire ?

Les motivations peuvent être variées, cela va de l’envie de tester un nouveau produit ou service en passant par le besoin de renforcer votre équipe par un jeune profil que vous formerez au métier. Stagiaire et apprentis ont leurs avantages. 

L'apprenti

Un homme et une femme symbolisant les rôles de tuteur et d'apprenti

Un apprenti (aussi appelé alternant par abus de langage en raison de sa présence alternée dans l’entreprise) est un salarié bénéficiant du statut d’étudiant en train de se spécialiser sur un métier.

Il sera présent très souvent dans son service, sur une longue période pouvant aller jusqu’à deux ans. 

L’apprenti idéal est un apprenti qui deviendra salarié de l’entreprise

Oui. 

L’entreprise (via le tuteur, le dirigeant ou un cadre) va signer un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation avec l’apprenti. 

L’apprenti a des engagements à respecter dans ce contrat d’apprentissage. Il ne peut cependant pas être soumis au même degré d’exigence qu’un salarié expérimenté, notamment sur les obligations de moyens ou de résultat. 

Les vacances, horaires de travail et autres points liés à la vie de l’entreprise s’appliquent à l’apprenti comme ils s’appliquent aux autres salariés. 

Un apprentissage est une formation dispensée par une école et une entreprise. Il se destine à rendre le plus autonome possible un apprenti, au moyen d’une alternance. 

Cette alternance est répartie entre l’entreprise et l’école, dans un ratio 60 % entreprise et 40 % école (chiffre indicatif moyen et empirique, dans les faits chaque formation est unique).

A l’issue de l’apprentissage, il convient de proposer un CDD, idéalement un CDI à l’apprenti. Cela n’est malheureusement pas toujours possible et c’est une perte sèche du temps investi pour l’entreprise. Pour l’apprenti en revanche, c’est une acquisition d’expérience qu’il pourra réinvestir dans un autre projet. 

Les deux contrats sont accessibles dès l’âge de 16 ans. Les employeurs choisissent en général le plus intéressant en terme d’accès au profil et de coût. 

  • Contrat d’apprentissage  : Il se destine en général aux apprentis bénéficiant du statut d’étudiant qui préparent un diplôme. L’objectif principal restant l’obtention du diplôme, l’apprentissage faisant partie du cycle de formation. La rémunération démarre à 27 % du SMIC suivant l’âge et le niveau d’études. La formation occupe quant à elle au minimum 25 % de la durée totale du contrat. Il est accessible jusqu’à 29 ans (sauf certains cas définis à ce lien). 

 

  • Contrat de professionnalisation : C’est un CDD pouvant se destiner à des publics variés (reconversions, ex-décrocheurs) comme à des demandeurs d’emplois. La rémunération démarre à 55% du SMIC suivant l’âge et le niveau d’études. La formation dure quant à elle au minimum 150h. L’âge maximal d’accès à ce contrat varie selon les situations (RSA, ASH, AAH). 

Vous pouvez en savoir plus à ce lien dans un tableau comparatif qui compare les deux. 

Une entreprise n’a pas de limite au nombre d’apprenti. 

La seule limite est celle du nombre de tuteurs. En effet, un tuteur ne peut avoir que deux apprentis maximum (et un redoublant). 

Entendons-nous bien, c’est un chiffre considérable. Peu de personnes ont le temps et la disponibilité pour encadrer trois apprentis en simultané mais cette situation existe

2 apprentis et 1 redoublant. 

Un tuteur (maître d’apprentissage) peut avoir au maximum 2 apprentis (et un redoublant). Il faut que le tuteur ait un diplôme équivalent à celui que prépare l’apprenti et une expérience significative (au minimum de de 2 ans).

Certaines corporations peuvent cependant avoir des exigences différentes. 

Il n’est pas obligatoire de recruter l’apprenti à la fin de son apprentissage. 

Il est évident que si l’apprenti répond aux critères humains et professionnels demandés par l’entreprise, il est recommandé de lui donner la possibilité de continuer à évoluer dans l’entreprise. 

Cependant, pour des raisons variées (problèmes financiers, changement de stratégie, apprenti non adapté, conflits), l’entreprise peut décider de ne pas reconduire la présence de cet apprenti dans l’entreprise. 

Pour des raisons de simplicité et de praticité, il faut laisser le contrat de travail aller à son terme. En effet, l’obtention du diplôme de l’apprenti est conditionnée à la validation de sa période entreprise. 

Rien ne s’y oppose en soi.

Attention cependant à la façon dont l’équipe va percevoir ce qu’ils vont qualifier sans tarder de “piston”. 

Soyez cohérent dans le recrutement de votre profil. L’élément clé est la motivation de l’apprenti. S’il est le fils de la dirigeante de l’entreprise et qu’il travaille sérieusement, il n’y aura pas de problème. 

Attention également aux jalousies de postes. En effet, une personne ambitionne peut-être d’être juste en dessous de la direction et verra d’un mauvais œil l’arrivée d’un membre de la famille.

L’idéal est de placer le membre de la famille apprenti dans une création de poste, un remplacement de départ à la retraite ou la mutation d’un salarié. 

Exemple : créer un service Marketing / Site Web. La plupart des TPE et PME françaises ont beaucoup de travail à fournir de ce côté-là. 

Donc oui vous pouvez recruter quelqu’un de votre famille, mais ce ne sera pas “comme à la maison” pour lui ou elle. Quand on joue le jeu, il faut le jouer dans les règles.

Oui.

Le travail distanciel d’un apprenti est légalement possible s’il l’est également pour les autres salariés. 

Dans l’idéal, l’apprenti doit être accompagné du tuteur dans des locaux communs. 

Cependant la période que nous avons vécu a amené certains aménagements et il fort probable qu’à l’avenir des formes hybrides existent, en partie présentielles et en partie distancielle. 

C’est une question que vous devez poser à l’école qui forme l’apprenti. En effet des conditions sont possibles, l’important est de trouver un compromis idéal pour tous. 

  1. L’OPCO

    Vous devez entrer en contact avec votre OPCO (Opérateur de Compétences, anciennement OPCA). 

    Les entreprises cotisent et obtiennent en retour la possibilité d’obtenir des financements pour la formation de leurs apprentis. Si vous ne savez pas quel est l’OPCO correspondant à votre entreprise, demandez à votre service comptabilité ou ressources humaines. 

    Sinon faites vos recherches sur le site du Ministère de travail à ce lien

    Ne sous estimez pas le temps que cela peut prendre pour vous pour obtenir toutes les informations, ne vous y prenez donc pas trop tard. 

  2. L’Ecole

    L’établissement scolaire qui accueille votre apprenti va vous demander un certain nombre d’informations sur votre immatriculation et vous communiquer le contrat d’apprentissage / de professionnalisation. Lisez-le attentivement et s’il ne vous convient pas, demandez des révisions. 

Dans le programme “Réussir Avec Mon Apprenti, La Tutorielle s’occupe de toute la partie administrative en faisant l’interface avec les écoles. Cela vous permet de gagner du temps et de vous consacrer à votre métier et à votre apprenti. 

Pour en savoir plus sur le programme, cliquez ici

L’apprenti est salarié mais également un étudiant préparant un diplôme. 

Considérez que pour lui, l’obtention du diplôme est le plus important. Il doit répondre à des exigences posées par l’école, notamment la préparation d’une ou plusieurs soutenances (auxquelles le tuteur doit être présent) mais également la préparation d’un mémoire d’apprentissage. 

Le mémoire d’apprentissage peut être confidentiel si l’entreprise le décide. En effet, cela est préférable dans la plupart des cas. Il convient d’en parler dès le départ au tuteur académique (qui est un enseignant qui fait l’interface entre l’élève, l’école et le tuteur entreprise sur les questions de travail et de rigueur de l’étudiant).

Pourquoi rendre le mémoire d’apprentissage confidentiel ?
Un intervenant de l’école peut en effet travailler chez l’un de vos concurrents. Un étudiant peut être parent avec un concurrent (sachez que les étudiants ont accès aux mémoires des années précédentes et facilement accès à ceux de leurs camarades). 

Prenez en considération ces éléments pour ne pas avoir de mauvaises surprises. 

Enfin, le tuteur entreprise doit prévoir des temps d’échange par téléphone ou visio avec le tuteur académique (très peu fréquents, sauf en cas de problème d’attitude de l’apprenti. Sur ce point La Tutorielle peut vous accompagner également même s’il vaut mieux prévenir en recrutant le meilleur profil que guérir en faisant de la médiation). 

  • Le tuteur doit considérer l’apprenti pour ce qu’il est, c’est à dire “un jeune” qui est là pour apprendre un métier et parfaire ses connaissances. Il n’a pas les compétences d’un salarié
  • Il est difficile de définir un volume horaire précis de disponibilité du tuteur pour son apprenti, cependant le minimum d’une demi journée par semaine paraît être le minimum “vital”.
  • L’apprenti doit cependant apprendre à poser ses questions intelligemment, au bon moment, quand son tuteur est disponible. Pour aider les tuteurs et les apprentis à se comprendre et à communiquer efficacement, La Tutorielle propose ce guide, unique en son genre, qui donne de la méthode, cette méthode que l’école et les familles oublient parfois d’enseigner. 

Le guide “Apprenti Autonome” est disponible à ce lien

Plusieurs “formules” existent. 

  • L’apprenti est présent toutes les semaines
  • L’apprenti est présent tous les mois. 

Dans la première option, le rythme est en général de 3 jours entreprise et de 2 jours école, souvent les deux derniers jours de la semaine. 

Dans le second cas, c’est en général 3 semaines en entreprise et 1 semaine à l’école. 

Il n’y a pas de rythme meilleur qu’un autre, cela dépend des apprentis. Un apprenti présent sur de longues périodes pourra vivre certains “cycles” de la vie en entreprise et pourra profiter d’un temps avec ses camarades de cours. Cette option permet en général de faire des travaux de groupes entre étudiants plus poussés. 

Le rythme 3 jours / 2 jours permet de faire accepter “progressivement” l’apprenti dans l’entreprise, en rythmant ses actions par des absences que l’équipe pourra “ressentir” comme un manque (un apprenti passionné et compétent contribue à donner de l’énergie à toute une équipe). 

  • Le tuteur doit considérer l’apprenti pour ce qu’il est, c’est à dire “un jeune” qui est là pour apprendre un métier et parfaire ses connaissances. Il n’a pas les compétences d’un salarié
  • D’un point de vue moral, le tuteur doit être disponible pour son apprenti. Il doit l’aider dans les moments de doutes, lui donner des indices sur ses erreurs, l’accompagner dans ses prises de décisions et lui donner confiance en lui
  • D’un point de vue “juridique”, le tuteur doit s’en tenir au minimum à ce que le contrat d’apprentissage prévoit.
  • Le tuteur doit garder en tête qu’un apprenti est un investissement humain pour l’entreprise. Il est la relève et le renforcement de la force de travail. Le tuteur a donc l’obligation d’être bienveillant avec son apprenti.
  • Un apprenti est par définition un alternant. Cela signifie que son temps est partagé entre l’entreprise où il effectue son apprentissage et l’école, où il acquiert des savoirs en général plus théoriques. 
  • Il existe des stages qui se font en alternance mais cela est extrêmement rare, donc quand vous entendrez quelqu’un dire apprenti ou alternant, considérez que cette personne parle du même type de profil.

C’est assez difficile mais les conflits peuvent survenir. 

Un apprenti est un salarié, cela peut donc amener le conflit devant les prud’hommes. Il convient de tout faire pour qu’une médiation réussisse.

L’objectif d’un apprenti est avant tout l’obtention de son diplôme. Dans “le pire des cas”, l’apprenti sera “payé à ne rien faire” en attendant la fin de son contrat. 

Si un conflit survient, il convient d’en avertir l’école par écrit, afin qu’elle soit au courant. Dans la plupart des situations, le tuteur entreprise, le tuteur académique et l’apprenti trouvent un compromis. Les parents peuvent parfois vouloir être de la partie, même pour des individus majeurs. 

Recruter un apprenti peut générer un choc générationnel dans une entreprise ou un service. Il convient de recruter le meilleur profil possible. La Tutorielle vous aide à recruter l’apprenti idéal et le forme avec le programme “Réussir avec mon apprenti

Le stagiaire

stagiaire-et-tutrice

Un stagiaire peut vous aider à faire des études, des veilles et de l’assistance sur les tâches de votre quotidien. Par ce biais il va découvrir votre métier et votre environnement. 

L’engagement auprès d’un stagiaire est moins important qu’avec un apprenti. En effet, un stagiaire sera là maximum 6 mois alors que cette valeur passe à 2 ans pour un apprenti. 

Le stagiaire est en général issu de filières plus “théoriques” et vous pouvez avoir de très agréables surprises. En effet, certains profils révèlent leur vrai potentiel sur le terrain, pas en cours. 

De nombreux stagiaires ont ce statut parce qu’ils ont choisi un parcours dicté par leurs parents. Mais ils se seraient accomplis bien plus vite en alternance. 

Non. Il est étudiant. 

Il existe une réglementation spéciale pour les stagiaires, quel que soit son secteur d’activité.

Le stagiaire doit cependant respecter les règles de l’entreprise qui l’accueille. 

Le stagiaire travaille cependant au même rythme qu’un salarié, à savoir 35 heures par semaine (avec un maximum de 11h consécutives par jour).

 

Un stage est un temps passé en entreprise par un étudiant dans le but de découvrir un secteur d’activité ou un métier. Les stages peuvent avoir des durées variables selon le niveau d’études et le projet commun défini entre l’étudiant et l’entreprise.

Quelle est la durée d’un stage ? 

Cela peut varier selon le “format” choisi : 

  • Le Stage de découverte (0 à 2 mois) se vit en général au début des études supérieures. Pour de nombreux stagiaires c’est un premier contact avec le monde du travail et ses réalités. Ce stage n’est pas obligatoirement rémunéré, c’est donc l’occasion idéale pour que le stagiaire teste durant 8 semaines une entreprise ou un métier. 

  • Le Stage d’application (appelé parfois “stage fonctionnel”). Sa durée est en général de 2 à 4 mois. Il convient aux stages techniques et de spécialisations. Les missions au delà de deux mois doivent être rémunérées obligatoirement.
  • Le Stage de fin d’études (4 à 6 mois). Le stage préféré des entreprises comme des étudiants. En effet, en 6 mois il est possible de parfaitement s’intégrer à l’équipe, d’effectuer une grande variété de tâches et de mener à bien des missions concrètes. 

Si vous en avez la possibilité, prenez un étudiant sur une durée de 6 mois et équipez-le correctement (ordinateur, logiciels, téléphone, formation) afin de le rendre opérationnel plus rapidement et efficacement. 

La convention de stage est un accord entre : 

  • L’étudiant
  • L’école où il effectue ses études
  • Un tuteur académique
  • Un tuteur entreprise
  • L’entreprise

L’entreprise est représentée par son tuteur entreprise, qui sera le maître de stage. L’école est représentée par le tuteur académique, qui connaît en général l’étudiant mieux que le tuteur à l’entrée en stage. 

Il convient donc d’échanger avec lui pour comprendre la personnalité de l’étudiant et de faire en sorte qu’il ait tout ce qu’il lui faut pour effectuer un stage riche et satisfaisant. 

La Tutorielle peut se charger pour vous de trouver le stagiaire qui vous convient en vous libérant des contraintes administratives et de sélection des premiers candidats. Seuls les plus adaptés vous seront présentés. 

Non entre 0 et 2 mois. Oui au delà. 

2 mois = 44 jours de 7 heures ou 308 heures de travail

Il est tout à fait possible de rémunérer un stagiaire dès le premier jour. 

La gratification du stagiaire doit être mentionnée sur le convention de stage. 

Pensez à regarder si votre convention collective impose un montant différent pour la gratification. 

Pour en savoir plus, consultez ce site regroupant les informations officielles. 

Non, différentes options sont possibles pour faire un stage sans être étudiant ou élève d’une école : 

  • Si vous avez moins de 25 ans, votre mission locale peut vous établir une convention de stage (à condition que cela soit cohérent avec votre projet professionnel)
  • Si vous êtes demandeur d’emploi / inscrit à Pôle Emploi, vous avez la possibilité d’effectuer des stages. Leurs durées sont cependant très courtes (moins de 1 mois). Mais votre conseiller peut vous proposer des options s’il voit que votre projet professionnel est cohérent et que vous êtes motivé. 
  • Le statut de stagiaire de la formation professionnelle s’adresse aux personnes qui n’ont jamais travaillé auparavant. Voir les conditions ici

Le plus important est donc qu’une convention valide soit signée. 

La rupture d’une convention de stage est possible même si elle reste difficile dans les faits. 

Il est préférable d’opter pour une médiation. Celle-ci sera possible avec le concours de l’école, du tuteur académique et éventuellement d’un tiers dans l’entreprise d’accueil. 

La convention de stage prévoit normalement cette situation. 

L’important pour l’étudiant -stagiaire est que le stage soit “validée”. Beaucoup d’entreprises en conflit avec leur stagiaire concluent un accord avec l’école et le stagiaire consistant à échanger le départ contre la validation de la période en entreprise. Cette pratique, bien que discutable, est visible sur le terrain. 

Il est toujours préférable de ne pas en arriver là, choisissiez donc un stagiaire qui a sa place chez vous en faisant appel à La Tutorielle, qui s’occupera de vous préselectionner les meilleurs candidats !

Oui, rien ne s’y oppose. 

Pensez cependant à définir une mission précise et claire et à ne pas montrer votre proximité avec le membre de votre famille. 

Il est important que les mêmes règles soient appliquées et respectées au stagiaire-parent afin de ne pas créer de jalousies et de conflits avec les autres collaborateurs. 

Le stagiaire doit également être motivé et intéressé par le poste qu’il occupe et les missions qu’il accomplit. Il est préférable d’éviter les stages “pour rendre service” ou “pour faire plaisir” (même s’il faut reconnaître que la majorité des entreprises du territoire est composée de TPE et PME familiales et tôt ou tard sont amenées à vivre cette situation). 

  • Vous devez signer une convention de stage
  • Vous devez prévenir votre service Ressources Humaines et votre service Comptabilité qui eux se mettront en conformité avec les organismes auxquels nous êtes liés (comme les assureurs). 
  • Si vous n’avez pas ces services en interne dans votre entreprise, vous devez contacter votre comptable avant le début de la procédure. 
  • Si vous êtes auto-entrepreneur (micro-entreprise), l’école vous demandera probablement une attestation prouvant que vous êtes assuré. A savoir qu’il est possible de faire appel à un stagiaire lorsque l’on est en auto-entrepreneur. Il faut que vous soyez en mesure de l’accueillir physiquement dans vos locaux. 

Un rapport de stage “raconte” comment le stage s’est déroulé et prend souvent la forme de la résolution d’une problématique au service de l’entreprise. 

Cela peut être l’étude d’un nouveau marché, une étude sur la réduction de coût des logiciels, la création de documents graphiques, l’écriture de contenus de synthèse, des actions de comptabilité, de mise aux normes, de l’analyse de prospection. 

Les sujets sont donc vastes. Gardez en tête que le rapport de stage peut contenir de nombreuses informations sensibles, c’est pourquoi il est recommandé de demander qu’il soit considéré comme secret et donc non diffusable aux autres étudiants et professeurs. 

Vous n’êtes pas à l’abri d’avoir le salarié d’un concurrent parmi les enseignants ou encore d’un parent d’un concurrent parmi les élèves de l’école. 

Gardez vos informations et vos données discrètes. 

  • Le tuteur de stagiaire (maître de stage) doit l’accompagner dans sa découverte du métier en lui faisant découvrir les aspects et les réalités de celui-ci.
  • Le stagiaire, en raison de son temps court en entreprise, doit avoir accès à une documentation précise et riche mais aussi à des personnes ressources
  • L’idéal est de placer un temps hebdomadaire où le stagiaire présente ses avancées et où le tuteur évalue avec lui ses objectifs dans le cadre du projet global de stage (cela comprends la phase de transmission de savoirs du tuteur vers le stagiaire). 
  • Il est recommandé que le stagiaire fasse un point quotidien de ses actions, par mail ou dans un tableur de suivi, à son tuteur. 
La Tutorielle forme vos stagiaires à travailler efficacement, n’hésitez pas à demander l’accompagnement “Réussir avec mon Apprenti”
  • Le tuteur de stagiaire doit l’accompagner dans sa découverte du métier en lui faisant découvrir les aspects et les réalités de celui-ci.
  • Le stagiaire, en raison de son temps court en entreprise, doit avoir accès à une documentation précise et riche mais aussi à des personnes ressources
  • Le tuteur doit être souvent présent dans les locaux où se trouve le stagiaire. Le stagiaire n’a pas à travailler de chez lui (sauf circonstances exceptionnelles décidées avec l’école)
  • Le tuteur doit bienveillance et écoute mais aussi fermeté sur le bien fondé ou on d’une action. 

Oui, mais c’est très rare. 

Certaines écoles ont saisi le potentiel qu’offrait l’alternance à ses élèves et étudiants. Elles ont donc réécrit leurs programmes afin de libérer du temps chaque semaine ou une semaine sur deux à leurs étudiants. 

C’est donc très peu courant et particulièrement compliqué à mettre en place pour les écoles. Ne comptez pas trop dessus. Partez du principe qu’un apprenti est un alternant et qu’un stagiaire sera présent chez vous en continu de quelques semaines à 6 mois. 

Non. 

Un stagiaire n’est pas un apprenti, il ne peut donc pas être en télétravail.

Cependant dans certains cas un télétravail ponctuel peut être envisagé si le métier le permet et si les conditions d’accompagnement de l’apprenti sont équivalentes à celles en présentiel (ce qui est rarement le cas). 

Il convient d’anticiper cette situation avec l’école, idéalement par écrit. 

Il est fort probable que les conditions s’assouplissent sur ce point dans les temps qui viennent. 

Pourquoi confier à La Tutorielle la sélection de votre apprenti ou stagiaire ?

Des apprentis sélectionnés pour leurs potentiels

La Tutorielle dispose en d’une base d’apprentis en recherche et qui ont déjà montré leur sincère motivation. 

Certains profils veulent travailler dans une grande ville, d’autres veulent au contraire travailler dans une zone plus calme. Certains veulent travailler dans des secteurs tels que le luxe, d’autres sont attirés par l’industrie. 

Les profils sont également mixtes et les niveaux de formations comme les spécialités variés. 

Dans ce panel d’apprentis et de personnalités, La Tutorielle fait le choix du profil le plus adapté pour la mission que l’entreprise souhaite accomplir.

Il est possible de faire passer des tests de personnalité au futur apprenti tel que le PROFIL DISC mais aussi des tests techniques. L’important étant que les compétences prétendues soient réelles. Certains candidats bluffent, parfois trop.

L’exagération sur les CV est un fléau et peu de tuteurs ont le temps de vérifier si ce que dit le candidat est vrai. La Tutorielle s’occupe de vérifier si le contenu du CV est réel, afin de ne pas avoir de mauvaises surprises.

La Tutorielle propose ensuite une sélection de 2 à 3 candidats au futur employeur. Depuis 2019, 100 % des candidats placés par La Tutorielle étaient des finalistes de la première sélection. 

De 1 à 2 semaines minimum. 

Le cas classique accompagné par La Tutorielle est celui d’une TPE de 20 salariés (ou le service d’une PME de taille équivalente). 

L’entreprise a besoin d’un apprenti pour renforcer le pôle commercial en mettant en place un service communication et l’apprenti aura la charge de refondre le site web, inchangé depuis 10 ans. 

Le dirigeant n’a pas le temps de créer une annonce correcte et attirante pour que les meilleurs candidats postulent. Il décide donc d’écrire une annonce qui ne comporte pas les bons mots clés, les bons termes techniques ou encore les bons logiciels).

Résultat ? Les meilleurs candidats ne postulent pas, les moins bons si. Il doit donc ensuite faire sa sélection parmi des profils peu ou pas soignés (CV mal mis en page, lettres de motivations qui sentent le copié collé d’internet et l’envoi de masse à toutes les entreprises de la région. 

La Tutorielle dispose de nombreuses connexions avec les établissements scolaires et ce sur tout le territoire. 

La Tutorielle apporte des offres aux écoles et des étudiants sélectionnés aux entreprises. 

De même, La Tutorielle renseigne les établissements sur les besoins du marché et ces mêmes établissements “poussent” certains candidats dont le profil correspond particulièrement à l’offre demandée. 

La présence régulière à des salons, des Job datings et des rencontres professionnelles permet de maintenir l’efficacité du réseau. 

De nombreux clients ne savent pas quel spécialiste choisir. 

Le cas classique est le client qui sait qu’il a “besoin d’un jeune pour gérer l’informatique” mais ce qu’il voulait dire était “J’ai besoin d’un Community Manager pour augmenter la visibilité de ma marque sur LinkedIn”.

La Tutorielle vous aide à mettre des mots précis, des mots d’expert, sur vos besoins. 

Selon les besoins et le contexte de l’entreprise, La Tutorielle va recommander des profils issus de Centres de Formations par Apprentissage (CFA), de filières courtes universitaires (BTS / DUT) ou encore des écoles privées. 

La Tutorielle dispose d’une solide connaissance des spécialités, des programmes scolaires et des parcours des établissements d’enseignement et met à disposition de ses clients son expertise

La Tutorielle offre des contenus aux futurs apprentis, à commencer par des conférences et webinaires gratuits. En voici deux exemples (vidéos disponibles sur Youtube) : 

La Tutorielle envoie également une newsletter destinée aux potentiels tuteurs et aux apprentis. Les dernières aides sont mentionnées ainsi que les procédures pour y candidater. Il est essentiel que les tuteurs et apprentis connaissent les meilleurs moyens de s’aider mutuellement. 

Les apprentis convaincus par la méthode de travail de La Tutorielle peuvent également acquérir le livre “Apprenti Autonome” (disponible sur Amazon à ce lien). Il résume tout ce qu’un apprenti doit savoir sur les codes de bonne conduite en entreprise ainsi que les meilleures méthodes de travail pour être efficace. 

La Tutorielle dispose également d’un compte Instagram et d’un canal Telegram (le plus actif).

La Tutorielle connaît les besoins des TPE et PME. 

Les besoins sont régulièrement les mêmes et son spécifiques sur certaines dimensions. 

Certaines entreprises ont des process de décision qui correspondent plus à certains profils d’apprentis et d’études. 

Les filières d’apprentissage ont une culture commune pour la majorité des actions et une culture propre, influencée par l’historique de la formation, la typologie des entreprises précédemment accompagnées, 

Des stagiaires choisis pour votre projeeeet !

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Pour certaines missions et dans certains environnements, les profils de stagiaires sont plus adaptés. 

Les entreprises en croissance, les start-ups, les reprises n’offrent parfois pas les conditions idéales pour les apprentis. Les stagiaires, en raison de leur durée de présence plus courte et de leurs missions souvent moins “orientées métier” et plus théoriques peuvent se sentir plus à l’aise. 

Entre deux et trois semaines. 

Le recrutement d’un stagiaire mérite toute votre attention. En effet, si son travail peut être un levier de croissance pour votre entreprise, il peut au contraire être un poids s’il est mal organisé. 

Un stagiaire mal employé ou qui s’ennuie est délétère pour le collectif. 

Pour cette raison, le recrutement d’un profil adapté à votre environnement et à votre réalité de travail est essentiel.

La Tutorielle vous accompagnera en 3 points : 

  1. Comprendre votre besoin et rédiger l’offre
  2. Sélectionner 3 profils qui vous seront présentés en entretien
  3. Accompagner le stagiaire retenu à l’autonomie au sein de son stage

La Tutorielle dispose d’un solide réseau dans les universités et les écoles. 

Ces connexions permettent d’identifier les meilleurs profils et également de diffuser les offres de stage des clients accompagnés bien plus efficacement qu’une simple mise en ligne sur internet. 

Enfin, les étudiants stagiaires encadrés par La Tutorielle ont eu de bons résultats scolaires et d’après eux cela s’explique en partie par la méthodologie organisationnelle à laquelle La Tutorielle les prépare. 

Nous sommes tous passés par là. Recherche de stage, entretiens, refus, reports, réponses positives, incompréhensions et autres déconvenues ou joies. 

Accompagner les étudiants à trouver leurs stages est un tremplin vers l’avenir mais aussi vers l’emploi. 

Les publics accompagnés, souvent âgés de la vingtaine, idéalisent parfois certains postes et en négligent d’autres. 

Cela est dû à leurs représentations. Il est évident que le stage marketing dans une start-up fait plus rêver que le stage marketing dans une fonderie. Pourtant, les personnes que l’on peut y rencontrer, leur niveau d’expertise et la force des projets peuvent être bien plus formateurs en raison de l’expérience de l’entreprise et de ses équipes. 

La Tutorielle a défini une “short list” des meilleurs formations. Cette liste empirique est alimentée régulièrement, suite à des échanges entre stagiaires, équipes enseignantes, tuteurs entreprise et alumni (réseaux des anciens d’une formation).  

Les critères internes pour sélectionner les spécialités sont les suivants : 

  • Cohérence entre le contenu scolaire dispensé et les besoins actuels et futurs du marché
  • Employabilité des étudiants en sortie de diplôme
  • Autonomie sur les outils du métier (méthodes, logiciels)
  • Formation à la vie en entreprise

La Tutorielle vous accompagne à identifier révéler le potentiel de vos apprentis et stagiaires !

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N’hésitez plus, demandez un rendez-vous à la Tutorielle au lien ci-dessous. Nous parlerons de votre besoin d’apprenti ou de stagiaire pour renforcer votre équipe. 

C’est gratuit et sans engagement.